La vision - Champagne Philipponnat

La vision

En perpétuel mouvement,
par nature

Au fil du temps.
La famille Philipponnat a plus de 500 ans de présence en Champagne.

La vision - Champagne Philipponnat

Cet héritage ne nous ancre pas dans le passé. Bien au contraire, il témoigne de notre capacité à nous renouveler, à progresser sans que change notre ambition : toujours mettre en valeur nos racines, notre terroir et son cépage de prédilection, le Pinot Noir.
Ces deux ou trois dernières décennies, la Maison a beaucoup fait progresser la qualité de ses vins et sa réputation en innovant et en créant de nouvelles cuvées, maintenant arrivées à maturité.

En renommant notre cuvée essentielle, notre « brut non millésimé » naguère appelé « Royale Réserve » pour lui donner l’appellation « Réserve Perpétuelle », nous accomplissons un double vœu. Le premier consiste à refléter la réalité de son assemblage et notre manière de gérer les vins de réserve. Le second symbolise la volonté de progrès permanent qui nous guide depuis toujours et qui inspire notre devise, le mouvement perpétuel.

Notre monde change plus vite que jamais. Nous devons changer nous aussi, pour que rien ne change. Dans notre vignoble, avec nos partenaires, dans nos chais, et dans tout ce que nous faisons auprès de nos clients et fidèles amateurs, nous croyons en l’inlassable recherche du perfectionnement, de l’excellence et du progrès. La perfection ultime, nous le savons, n’est pas atteignable. Nous nous attachons cependant à la poursuivre chaque jour. Cette persévérance garantit la vitalité de la Maison Philipponnat et la qualité toujours renouvelée de ses vins.

La vision - Champagne Philipponnat

Nous écrivons le début d'une éternité...

Charles Philipponnat

Mobilis in mobile

Agiles face au changement.

La vision - Champagne Philipponnat

La Terre, et en elle la Champagne, changent. Philipponnat aussi.
Riches de cinq siècles d’histoire, nous sommes aujourd’hui au défi non pas de nous adapter, mais d’anticiper les changements de notre environnement, qu’ils soient climatiques, scientifiques, sociétaux, économiques… Nous avons pris le tournant du développement durable il y a plus de trente ans avec raison, prudence et détermination. Cela ne suffit pas. D’autres défis nous attendent, de nouvelles maladies que nous devrons vaincre comme jadis le phylloxéra. L’impérieuse injonction de ne plus utiliser de produits phyto sanitaires que biologiques ou minéraux, dont l’innocuité est prouvée, nous oblige à remettre en cause nos pratiques, nos choix viticoles, voire à faire évoluer nos cépages et nos porte-greffes. Pour être durables, nous devons changer en cultivant résilience et créativité. Notre temps, passé, présent et à venir est un perpétuel mouvement, fait de fidélité à notre terre et à son histoire comme il est fait d’innovation.

Ce mouvement est souvent paradoxal. Comment labourer et désherber sans blesser les ceps sinon avec des charrues adaptées ? Comment lutter contre le mildiou sans produits systémiques sinon en réagissant en vingt-quatre heures, avec un matériel suffisant, moderne, économe, et efficace ? Comment mener ou non les fermentations malolactiques pour préserver la fraîcheur des vins sans les possibilités modernes de maîtrise des températures ? C’est le progrès qui nous permet de préserver la qualité et le style de nos vins en ne faisant que ce qu’il était déjà possible de faire il y a cent ans. Non pour faire autre chose, mais la même chose, mieux. Et demain, encore mieux.

Le Magazine de la Maison